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Gestion de projet d’investissement immobilier : comment calculer la rentabilité locative ?

Parfois, il s’avère très compliquer de décider de lancer un investissement dans un projet immobilier plutôt qu’un autre quand les buts fixés correspondent aux mêmes attentes. Pourtant, de nombreux indices financiers simples y compris la rentabilité locative existe en vue de conforter le meilleur choix. Tout l’essentiel à découvrir dans ce dossier !

 

Rentabilité locative : définition

L’exposition suivante peut se montrer très intéressante pour les dirigeants désirant d’acheter un bien immobilier. De plus, l’investissement immobilier marque parmi les meilleurs placements permettant aux entrepreneurs de placer leur argent.

Toutefois, comme toute sorte d’investissement, l’investissement immobilier désigne une décision qui ne devrait pas être prise à la légèreté. Dans ce cas, la rentabilité locative représente un bon indicateur financier ayant pour but de connaitre, de façon précise, les apports en pourcentage de cet investissement. Elle permet également de confronter la rentabilité locative de tous les biens. Une rentabilité locative de 3% devrait par exemple rapporter annuellement 3% et plus de l’ensemble de la somme investie dans les loyers.

Par ailleurs, les comptables au sein du cabinet comptable en Belgique account-partner.be calculent la rentabilité locative en fonction des charges dues, des loyers reçus et bien évidemment du prix de revient de l’immobilier.

Pour déterminer exactement la rentabilité locative, de nombreuses méthodes peuvent être appliquées. Dans tous les cas, il faut suivre les étapes de calcul suivantes :

– Établissement du prix de revient du mobilier

– Calcul de la rentabilité locative brute

– Calcul de la rentabilité locative nette

– Calcul de la rentabilité locative nette-nette

 

Fonctionnement des modalités de calcul de rentabilité locative

La première étape qui constitue la rentabilité locative s’avère une phase cruciale pour l’investissement. Tous les calculs sont basés en effet, au prix de revient qui comprend essentiellement du coût du bien, les charges attenantes à l’achat et les coûts des travaux. Les charges associées à l’acquisition du bien regroupent les frais d’intermédiation, les frais de notaires, etc.

Très utile surtout en début d’analyse au sein d’un cabinet comptable en Belgique, la rentabilité brute marque aussi un indice pertinent. Le loyer annuel est obtenu à partir de la multiplication du loyer par 12 mois. En effet, la somme allouée au loyer et utilisée pour l’ensemble de calculs doit être comprise sans le loyer hors charge, appelé également provisions pour charges demandées auprès du locataire.

Pourtant, le calcul de rentabilité locative brute ne prend pas en considération les charges liées à l’amélioration de l’immeuble, à la réparation, à l’entretien. Il ne tient pas en compte également des frais accordés à la gestion ou aux différentes impositions engendrées sur ces revenus locatifs. Cette technique est fortement mise en avant par bon nombre d’opérateurs dans le secteur immobilier bien qu’elle demeure trop sommaire pour une meilleure analyse de rentabilité locative.

En outre, la rentabilité locative nette marque un indicateur très facile à établir. Il s’agit d’un bon compromis pour un projet qui ne comprend pas trop de spécificités sinon le calcul de la rentabilité locative nette-nette incluant l’impôt du propriétaire devient une solution incontournable.